Comment va notre démocratie ?  comment va notre société ?  quel avenir pour notre planète ? où va-t-on finalement ?

De telles questions sont aujourd’hui au cœur du Grand Débat National lancé par le gouvernement.

Pourtant, bien avant les gilets jaunes, nous étions quelques un à faire le constat que ces questions n’étaient pas assez  prises en en compte.

Nous étions par ailleurs convaincus que les éventuelles réponses à ces enjeux ne pouvaient pas venir de la seule classe politique, de moins en moins perçue comme crédible et légitime.

Aussi, et dans une certaine discrétion, nous avons commencé à réfléchir aux moyens de poser les débats et de faire émerger des propositions de solutions.

Avec Juliette Méadel, ancienne secrétaire d’Etat chargée de l’Aide aux victimes, nous avons réuni des personnalités qui se posaient les mêmes questions : de Daniel Cohn-Bendit à xxx en passant par l’économiste Philippe Aghion, nous avons estimé qu’il fallait faire susciter les réflexions et émerger des idées nouvelles d’abord à partir de la  société civile.

En mobilisant les réseaux des uns et des autres, nous avons pu embarquer une dizaine d’associations – représentant tout de même plusieurs millions d’adhérents –  dans un vaste chantier de réflexion.

Trois thèmes sont rapidement arrêtés: l’immigration, la révolution du modèle économique et écologique, et la lutte contre les inégalités.

A chaque fois, nous avons retenu la même méthode : la confrontation des points de vue des associations pour pour faire naître les convergences et aboutir à des propositions qui seront discutées lors de conférence de consensus.  

Nous avons d’abord mené ce travail sur la question des migrants, et les propositions décoiffent (voir ICI l’article du Nouvel Observateur). Nous en discuterons le 28 janvier à l’Assemblée nationale et nous espérons bien aboutir à une plateforme aussi ambitieuse que partagée.